Depuis le temps que je vous livre mes états âmes, rien ne
semble changer.
Je me rends bien compte une fois de plus, combien la douleur
et la solitude rendent plus facile cet exercice.
Me faut-il donc souffrir pour parvenir à l'aisance dans
l'écriture et me faut-il verser des larmes pour plus de fluidité.
La solitude semble me donner le besoin et le triste la
volonté de m'exprimer.
Un jour peut être écrire mon bonheur sera enfin possible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire